Journée internationale des femmes et des filles de science 2024

Bonne Journée internationale des femmes et des filles de science!

Nos scientifiques, chercheurs, biologistes, écologistes et tant d’autres, sont une partie intégrale essentielle de Parcs Ontario!

Parmi nos femmes scientifiques exceptionnelles :

Hope Freeman, naturaliste principale du parc

En tant que naturaliste principale du parc provincial Grundy Lake, Hope supervise l’éducation des visiteurs du parc ainsi que divers projets de recherche et de surveillance.

Hope participe aux efforts d’élimination de l’alliaire officinale, à la surveillance des boîtes à chauves-souris et aux levés des mares printanières.

staff holding monitor, staff holding blanding's turtle plush

Le projet de maîtrise en sciences de Hope s’est concentré sur les tortues de l’Ontario et leur habitat, faisant du Projet de surveillance des tortues du parc son projet préféré.

Le Projet de surveillance des tortures au parc Grundy Lake a célébré son 10e anniversaire en 2023 avec un nombre record de nids de tortues protégés (70) et un nouveau composant de suivi radio de la tortue mouchetée! Ces projets sont importants pour déterminer la santé de l’écosystème du lac Grundy et la façon dont nous pourrions mieux le protéger.

« La possibilité de travailler avec des espèces en péril est une chose (incroyable), si l’on ajoute ensuite l’éducation des visiteurs, on atteint un autre niveau. Le fait de savoir que je contribue à inspirer des actions de conservation est très gratifiant. »

« Sans parler de la possibilité de collaborer avec des mentors, des collègues et de futurs scientifiques. Travailler ensemble pour protéger les espèces et les écosystèmes que j’aime est vraiment gratifiant, le travail d’équipe permet vraiment de concrétiser le rêve. Honnêtement, je suis ici aujourd’hui grâce au mentorat de brillantes femmes scientifiques! »

Pauline Catling, écologiste principale

Pauline est une écologiste principale de North-South Environmental Inc., un cabinet qui arpente plusieurs parcs provinciaux du centre de l’Ontario à la recherche de certaines espèces de plantes en péril.

person wearing high-vis out in field

Il est essentiel de comprendre la répartition et l’abondance de ces espèces en péril pour prendre des décisions éclairées qui soutiennent leur conservation.

« Être scientifique transcende le genre, l’éducation ou les antécédents; il s’agit d’avoir une curiosité sans fin, un esprit ouvert et une volonté de découvrir et de comprendre. Cela change la façon dont vous regardez le monde et votre environnement, mais vous apporte également une joie constante dans les nouvelles découvertes. »

Michelle Karam, directrice générale

researcher wearing mask and gloves, holding bat

Michelle est la directrice générale de Land Care Niagara. Elle a recueilli des données sur les captures dans le Parc provincial Short Hills dans le cadre d’une étude plus large en Ontario pour mieux comprendre la sélection de l’habitat de repos estival des chauves-souris de l’Ontario, en particulier les chauves-souris répertoriées comme espèces en péril.

On espère que ces renseignements aideront à conserver l’habitat des chauves-souris en péril et à amorcer des mesures positives pour aider ces espèces.

« J’ai toujours su que je travaillerais en tant que scientifique dans la nature et avec la faune, mais ce qui m’intéressait le plus c’était de les aider activement et de protéger notre environnement. On m’a toujours dit à l’école que cette carrière ne serait pas payante, mais j’ai toujours su que mes valeurs éthiques, le fait d’être dans un environnement naturel et la satisfaction d’aider l’emportaient de loin sur la richesse financière. »

« Je n’ai jamais regretté d’être zoologiste. Cela m’a ouvert des portes pour m’aventurer dans de nombreux endroits et écosystèmes fantastiques, ainsi que pour rencontrer des personnes et des animaux incroyables. Je me sens tellement chanceuse de donner maintenant un excellent exemple à mes deux jeunes filles et de leur montrer qu’elles devraient poursuivre leurs propres rêves. »

Josephine Archbold, analyste, politiques et recherches

Josephine est une nouvelle venue à Parcs Ontario. Elle possède une maîtrise en sciences de l’environnement et 20 ans d’expérience dans le secteur public en toxicologie, en évaluation des risques environnementaux et en santé publique.

collage of staff in cubicle, selfie on campsite with two other people

Elle a exprimé son enthousiasme à l’idée de faire partie de Parcs Ontario et de mettre son expérience et son point de vue au service de notre mission. Le personnel est ravi de l’avoir dans l’équipe. Elle est un excellent exemple de quelqu’un qui a fait un changement en milieu de carrière pour poursuivre un travail qui correspond à ses objectifs personnels et professionnels.

Elle préside maintenant le comité scientifique de Parcs Ontario. Josephine a reçu le mandat de diriger le Secrétariat en soutenant le nouveau comité scientifique de Parcs Ontario, en étroite collaboration avec les codirigeants de la Stratégie de Parcs Ontario relative aux sciences.

La passion et l’énergie de Joséphine ne manqueront pas de contribuer à une année amusante et enrichissante pour ce comité.

« Dès mon plus jeune âge, j’ai été passionné par la nature et l’environnement. La blague familiale de longue date est que je suis née en demandant « pourquoi ». Le choix d’une carrière scientifique, en particulier dans les sciences de l’environnement, a toujours été clair pour moi. Je savais que la science était mon moyen de comprendre le monde qui m’entourait et ma façon de faire la différence. »

« J’ai été extraordinairement chanceuse dans ma carrière de travailler aux côtés de femmes brillantes dans le domaine des sciences et d’être encadrée par elles. Il y a plus de femmes dans les sciences que jamais auparavant, mais il y a encore des obstacles et des défis, en particulier pour les femmes occupant des postes de direction. Nous devons entendre la voix des femmes et une diversité de points de vue si nous voulons relever les défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. C’est un privilège de rejoindre Parcs Ontario, un organisme qui valorise la contribution et le leadership des femmes et qui valorise l’importance de la science. J’ai une fois de plus la chance de travailler aux côtés de femmes brillantes et de me joindre à une équipe de scientifiques interdisciplinaires qui placent la conservation, la durabilité et différentes façons de comprendre le monde au centre de tout ce qu’ils font. »

Andrea Waugh, technicienne de terrain

staff standing in canoe on lake, holding fish

L’été dernier, Andrea a travaillé dans notre Zone du Nord-Est pour recueillir des données pour le programme de l’Atlas des oiseaux nicheurs de l’Ontario. Elle l’a fait en menant des levés de dénombrement ponctuel et en déployant des appareils d’enregistrement à Temagami.

Elle a également participé à la surveillance du rétablissement de l’omble de fontaine aurora de Temagami et à la restauration de la truite de lac du parc provincial Killarney.

Andrea travaille actuellement avec la Section des zones protégées de Parcs Ontario en tant qu’analyste, politiques et recherche, entre les saisons sur le terrain.

« On va laisser les hommes sauver l’univers? C’est hors de question! » – Elasto-Fille, Les Indestructibles (2004) »

Courtney Lanigan, écologiste adjointe de zone

woman wearing hat and jacket

Courtney est écologiste adjointe saisonnière dans la Zone du Nord-Est de Parcs Ontario. Son travail principal porte sur les alvars, des écosystèmes globalement rares qui se produisent dans la région sud de la Zone du Nord-Est.

Courtney travaille avec d’autres membres du personnel pour adapter leur méthodologie aux caractéristiques uniques des alvars, en déterminant les facteurs et l’état actuel de ces écosystèmes.

Plus précisément, ils examinent comment la chimie du sol (en raison de la composition du substrat rocheux) influence la présence et la distribution de la biodiversité végétative.

Ils prélèvent des carottes d’arbres et les analysent pour détecter les cicatrices de feu (dendropyrochronologie) afin d’induire le rôle du feu dans la conservation de ces écosystèmes rares.

« En tant que femme de science, le leadership, le soutien et les conseils exceptionnels que mes collègues de Parcs Ontario m’ont montrés ne doivent pas être considérés comme allant de soi. Pendant mon séjour à Parcs Ontario, j’ai eu le plaisir de travailler dans un environnement de travail inclusif et stimulant. »

« L’uniformité n’est pas naturelle; c’est la diversité qui l’est. »

Catherine Reining, candidate au doctorat et coordinatrice de projet

person wearing white t-shirt, shorts, holding clipboard

Catherine est candidate au doctorat et coordonnatrice du projet ParkSeek au département de géographie et d’environnement de l’Université Western.

Catherine explore actuellement les obstacles et les facteurs facilitant l’accès aux aires protégées pour améliorer la promotion de la santé de la population, ce qui comprend des recherches au parc provincial Pinery pour mieux comprendre comment les expériences des visiteurs dans le parc affectent la santé et le bien-être humains.

« Je suis reconnaissante envers le personnel de Parcs Ontario qui a défendu ce travail et les visiteurs du parc pour leur participation, c’est l’une des meilleures parties du travail. J’espère aider le plus grand nombre de personnes possible à découvrir les aires protégées! »

Wendy McFadden-Smith, spécialiste de la lutte intégrée contre les ennemis des fruits tendres et du raisin

Mme McFadden-Smith travaille avec le ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario à la surveillance du fulgore tacheté, un insecte envahissant.

Lorsqu’elle ne surveille pas le fulgore, elle a mobilisé des scientifiques communautaires pour l’aider à signaler les observations de l’insecte.

Shelby Gibson, candidate au doctorat

woman with baby on back

Shelby Gibson est candidate au doctorat au département de biologie de l’Université York.

Elle étudie actuellement les systèmes de pollinisation des plantes alimentaires et médicinales culturellement importantes dans la région des Grands Lacs. Compte tenu du récent déclin de nombreuses espèces de pollinisateurs sauvages, il est important de comprendre le rôle que jouent les pollinisateurs dans le soutien de populations saines d’espèces végétales culturellement importantes.

Shelby étudie le raisin d’ours (Arctostaphylos uva-ursi) dans le parc provincial Burnt Lands. Le raisin d’ours est relativement peu étudié et son système de pollinisation n’a pas encore été étudié en Amérique du Nord.

Récemment, Shelby a mené une expérience sur le terrain pour déterminer dans quelle mesure différents traitements de pollinisation soutenaient la production de semences. Ces renseignements peuvent être utiles pour déterminer des stratégies de gestion efficaces pour les aires protégées

« J’ai toujours été intéressée par les plantes, les animaux et le fait d’être à l’extérieur. Je travaille dans ce domaine parce que je sais que la compréhension des complexités du monde naturel nous aidera à résoudre certains des problèmes difficiles auxquels nous sommes actuellement confrontés. Ce n’est pas facile, mais j’espère montrer à mes enfants que cela vaut la peine de faire des choses difficiles et qu’ils peuvent tout faire. »

Mary-Helen Armour, professeur agrégée

Professeur agrégée à l’Université York, Mme Armour effectue des lectures gravimétriques autour de la structure d’impact Brent, un cratère en forme de bol situé dans le parc provincial Algonquin.

equipment sitting on grass

Elle vise à créer un modèle 3D souterrain de la structure avec les données qu’elle recueille, ainsi que d’autres données existantes, pour améliorer nos connaissances existantes sur ces structures. L’équipement qu’elle utilise pour recueillir des données est illustré ci-dessus.

« J’aime faire de la géologie et de la géophysique. Il s’agit d’un domaine difficile dans lequel il faut se concentrer dans de nombreux domaines différents. Actuellement, je travaille à la modélisation de différentes structures d’impact au moyen de diverses données géophysiques comme la gravité et le magnétisme. »

À toutes les femmes scientifiques extraordinaires qui travaillent avec passion pour comprendre et protéger nos espaces naturels : merci pour tout, et félicitations pour vos réalisations!


Pourquoi vos scientifiques ramassent-ils des animaux sauvages? Puis-je aussi ramasser des serpents et des tortues?

Veuillez ne pas manipuler la faune. Les membres du personnel présentés ici sont des scientifiques formées et engagées dans la recherche professionnelle. Ces scientifiques suivent un protocole strict de soins aux animaux approuvé par le ministère du Développement du Nord, des Mines, des Richesses naturelles et des Forêts. Ces protocoles sont examinés selon les résultats souhaités de la recherche et veillent à ce que des mesures soient prises pour mettre le moins de stress possible sur l’animal. Nous vous demandons de toujours observer les animaux à distance pour votre sécurité et celle de l’animal.