Le billet d’aujourd’hui est une diatribe polie de la bibliothécaire du parc provincial Quetico, Jill Sorensen.
Il semble que nous entendions constamment parler de voyages de style expédition – des récits où les gens ont battu des records de vitesse, ont pagayé les plus longues distances ou ont été « les premiers » à terminer un parcours. Les ampoules. La privation de sommeil. L’endurance.
Et c’est très bien ainsi. Je n’ai aucun problème avec le suivi des kilomètres ou les tentatives de course. Mais si vous insistez pour mesurer tous vos voyages, puis-je vous suggérer de compter autre chose? Quelque chose qui vous relie plutôt au paysage ou à une part de l’histoire culturelle.
Un peu moins de vitesse. Un peu plus d’appartenance.
Voici quelques suggestions d’autres choses à compter :