La rivière Missinaibi est un des itinéraires de canot les plus longs et les plus connus du bassin hydrographique de la baie d’Hudson – 500 km de rivière aux eaux vives, de la ligne de partage des eaux de l’Arctique à la baie James.
Cet été, notre équipe d’intendance des ressources du nord-est a parcouru 185 km de cette rivière pour travailler à l’entretien de l’arrière-pays du parc provincial Missinaibi.
Regardez cette vidéo de leurs déplacements :
Le billet d’aujourd’hui a été rédigé par l’auteure Ashley Rae, de SheLovesToFish.com, qui pêche toute l’année toutes sortes de poissons.
L’automne est la saison préférée de beaucoup de pêcheurs à la ligne.
Ce n’est pas étonnant! J’aime l’été, oui, mais j’oublie vite que la chaleur me manque quand l’automne arrive et que je me mesure à l’achigan.
Il y a bien des raisons pour lesquelles cette période est fabuleuse pour aller sur l’eau et pourchasser l’Achigan à grande bouche et l’Achigan à petite bouche. Ci-dessous, je présente simplement quelques-unes des raisons pour lesquelles il vous faut vous lancer dans la pêche automnale à l’achigan, et sans tarder!
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Si vous êtes amateur de pêche et souhaitez améliorer vos chances d’attraper une bonne prise, nous ne saurions trop vous recommander les 2000 lacs et rivières de l’Ontario qui sont empoissonnés par Parcs Ontario ou par le ministère des Richesses naturelles et des Forêts.
Le ministère empoissonne les endroits prisés des pêcheurs depuis le début des années 1950 avec des poissons qui leur sont bien adaptés. Aujourd’hui, nous exploitons neufs stations piscicoles, ou écloseries, dans l’ensemble de la province, où nous élevons 12 espèces populaires de poisson de sport (notamment le doré jaune, le saumon, la truite et le maskinongé).
Chaque année nous relâchons environ 8 millions de poissons dans les eaux de l’Ontario!
Dans le billet d’aujourd’hui, Ankita Sharma nous fait part de l’expérience de camping de sa famille dans le cadre du programme Apprendre à camper.
L’été dernier, j’ai convaincu les cinq membres de ma famille indienne d’aller camper dans le parc provincial Emily.
Les Sharma n’ont jamais campé auparavant, mais voilà que nous nous trouvons là, plantés devant notre emplacement de camping.
Mon père me regarde et demande : « Où nous as-tu amenés? »
